Valentine Goby : Manuelo de la plaine
Un très beau roman pour jeune adolescent, remplit d'émotion. J'apprécie ce livre car il me rappel les bons romans que j'aimais lire à l'âge de 10/12 ans c'est bon signe. Un grand plaisir de lecture.
Le 21 juin 1937, le jeune Manuelo est tout fier par cette belle journée il a reçu son certificat.
Il a douze ans et demi, il est d'origine espagnol, il vit dans la région parisienne la Plaine Saint-Denis. Ses parents sont pauvres son père est au chômage, sa mère est très malade.
Manuelo et sa bande de copain au lieu de passer ses journées à jouer au foot, ils vont travailler en usine. Pour que sa mère puisse guérir et aller au sanatorium.
"C'est mon secret. Papa ne sait rien. Je lui dirai à la fin, quand j'aurai tout l'argent nécessaire. S'il apprenait que je vais à l'usine, il m'interdirait de sortir. Papa croit que je passe mes journées à jouer au foot derrière l'église. Ça ne lui plaît pas. Pas à cause du foot, mais à cause des prêtres. Ils soutiennent le général Franco dans la guerre d'Espagne, et papa est contre Franco. C'est compliqué, la guerre... Mais bon, l'église, c'est le seul endroid où on vous prêtre un beau ballon, un beau terrain, et une belle tenue de sport. Quelquefois, on vous offre même un bon goûter. Alors mon père ne dit rien."Manuelo est le héros de ce petit roman et il y a une jeune fille qui lui fait de l'œil c'est Maria. Il l'invite au cinéma mais il est obligé de se farcir la petite sœur.
Dans ce petit roman, Valentine Goby le situe bien dans son contexte historique, ses immigrés espagnol ont quitté leur pays et ils se retrouvent dans la banlieue parisienne de la Plaine Saint Denis. En Espagne il y a la guerre et le pays est sous l'emprise de Franco. Elle montre aussi bien le rôle de l'église durant cette époque.
Le 21 juin 1937, le jeune Manuelo est tout fier par cette belle journée il a reçu son certificat.
Il a douze ans et demi, il est d'origine espagnol, il vit dans la région parisienne la Plaine Saint-Denis. Ses parents sont pauvres son père est au chômage, sa mère est très malade.
Manuelo et sa bande de copain au lieu de passer ses journées à jouer au foot, ils vont travailler en usine. Pour que sa mère puisse guérir et aller au sanatorium.
"C'est mon secret. Papa ne sait rien. Je lui dirai à la fin, quand j'aurai tout l'argent nécessaire. S'il apprenait que je vais à l'usine, il m'interdirait de sortir. Papa croit que je passe mes journées à jouer au foot derrière l'église. Ça ne lui plaît pas. Pas à cause du foot, mais à cause des prêtres. Ils soutiennent le général Franco dans la guerre d'Espagne, et papa est contre Franco. C'est compliqué, la guerre... Mais bon, l'église, c'est le seul endroid où on vous prêtre un beau ballon, un beau terrain, et une belle tenue de sport. Quelquefois, on vous offre même un bon goûter. Alors mon père ne dit rien."Manuelo est le héros de ce petit roman et il y a une jeune fille qui lui fait de l'œil c'est Maria. Il l'invite au cinéma mais il est obligé de se farcir la petite sœur.
Dans ce petit roman, Valentine Goby le situe bien dans son contexte historique, ses immigrés espagnol ont quitté leur pays et ils se retrouvent dans la banlieue parisienne de la Plaine Saint Denis. En Espagne il y a la guerre et le pays est sous l'emprise de Franco. Elle montre aussi bien le rôle de l'église durant cette époque.
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