J.D Salinger : L' attrape-cœurs
traduit par la nouvelliste Annie Saumont
Un livre culte pour les adolescents d'aujourd'hui et d'hier.
C'est un livre d'une grande modernité de ton (écrit en 1945) et qui nous parle merveilleusement bien du mal de vivre de l'adolescence, d'être mal dans sa peau, comme voir l'avenir quand on a perdu un frère. " Maintenant il est mort mort, mon frère. Il a eu une leucémie, il est mort quand on était dans le Maine, le 18 juillet 1946 . Vous l'auriez aimé. Il avait deux ans de moins que moi mais il était dans les cinquante fois plus intelligent." Holden Caulfield est issu d'une riche famille new-yorkaise, et il est pensionnaire dans une école pour enfants de riches, où il a du mal a faire sa place et il est renvoyé.
Alors, il erre dans New-York. Il fait froid, " un froid de loup" il neige un peu avant Noël. " J'ai oublié de vous dire que j'étais renvoyé. J'étais pas supposé revenir après les vacances de Noël pour la raison que j'avais foiré en quatre matières, et pour le manque d'application et tout. "" À Pencey on met très souvent des types à la porte." C'est un livre très urbaine. Ce livre est bouleversant sur l'existence de ce jeune adolescent et sur ses questionnements. C'est un roman d'apprentissage. Je trouve que le ton employé est d'une grande douceur qui contraste avec le bouillonnement intérieur d'Holden. Les passages que j'ai bien aimé :
Touchant celui avec les bonnes sœurs p135/139. " J'ai dit que moi aussi j'avais été heureux de bavarder avec elles. Et c'est la vérité." Le musée sur les origines de l'Amérique : Christophe Colomb et les indiens. La relation avec sa petite sœur Phoebé est touchante, ils sont très proches comme soudés l'un à l'autre. Holden est fou de sa sœur c'est très mignon. "De toute votre vie vous avez jamais vu une gamine aussi mignonne et aussi futée. Elle est très intelligente."
Une fois que j'ai refermé ce livre j'ai ressenti une grosse boule dans la gorges, un livre qui marque !
Un livre culte pour les adolescents d'aujourd'hui et d'hier.
C'est un livre d'une grande modernité de ton (écrit en 1945) et qui nous parle merveilleusement bien du mal de vivre de l'adolescence, d'être mal dans sa peau, comme voir l'avenir quand on a perdu un frère. " Maintenant il est mort mort, mon frère. Il a eu une leucémie, il est mort quand on était dans le Maine, le 18 juillet 1946 . Vous l'auriez aimé. Il avait deux ans de moins que moi mais il était dans les cinquante fois plus intelligent." Holden Caulfield est issu d'une riche famille new-yorkaise, et il est pensionnaire dans une école pour enfants de riches, où il a du mal a faire sa place et il est renvoyé.
Alors, il erre dans New-York. Il fait froid, " un froid de loup" il neige un peu avant Noël. " J'ai oublié de vous dire que j'étais renvoyé. J'étais pas supposé revenir après les vacances de Noël pour la raison que j'avais foiré en quatre matières, et pour le manque d'application et tout. "" À Pencey on met très souvent des types à la porte." C'est un livre très urbaine. Ce livre est bouleversant sur l'existence de ce jeune adolescent et sur ses questionnements. C'est un roman d'apprentissage. Je trouve que le ton employé est d'une grande douceur qui contraste avec le bouillonnement intérieur d'Holden. Les passages que j'ai bien aimé :
Touchant celui avec les bonnes sœurs p135/139. " J'ai dit que moi aussi j'avais été heureux de bavarder avec elles. Et c'est la vérité." Le musée sur les origines de l'Amérique : Christophe Colomb et les indiens. La relation avec sa petite sœur Phoebé est touchante, ils sont très proches comme soudés l'un à l'autre. Holden est fou de sa sœur c'est très mignon. "De toute votre vie vous avez jamais vu une gamine aussi mignonne et aussi futée. Elle est très intelligente."
Une fois que j'ai refermé ce livre j'ai ressenti une grosse boule dans la gorges, un livre qui marque !